« L’urgence ? Des formations dignes de ce nom, et en commun »
Le mauvais état des relations entre les différents intervenants de l’aide à la jeunesse, et entre ces intervenants et les familles, s’explique avant tout par l’ignorance…
Le mauvais état des relations entre les différents intervenants de l’aide à la jeunesse, et entre ces intervenants et les familles, s’explique avant tout par l’ignorance…
Pour Valérie Glatigny, ministre MR de l’Aide à la jeunesse, les rapports tendus entre les juges de la jeunesse et l’administration de l’aide et de la protection de la jeunesse illustrent la mauvaise compréhension des tâches et des responsabilités de chacun.
Le législateur a privilégié l’approche non judiciaire de l’aide à la jeunesse : ce n’est donc qu’en dernier recours que des jeunes en grande difficulté et leur famille doivent comparaître devant un juge.
Pourquoi les « pouvoirs » du juge de la jeunesse et ceux de l’administration sont-ils tellement différents en Wallonie et à Bruxelles ?
Pour le Parquet comme pour les autres acteurs de l’aide à la jeunesse, travailler dans un secteur sous-financé, en perpétuelle pénurie de moyens financiers et de places disponibles dans les services d’aide hypothèquent un travail de qualité. Même si chacun fait ce qu’il peut…
L’aide à la jeunesse souffre de multiples dysfonctionnements.
Retour sur l’un des faits d’armes les plus mémorables d’un pionnier du milieu socio-culturel belge, Rudi Barnet
En réponse à l’envol des prix du gaz et de l’électricité, le gouvernement fédéral a pris plusieurs mesures afin de diminuer les factures des ménages.
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