
La décolonisation de l’espace public au parlement
Le parlement bruxellois vient d’adopter une résolution qui prône la « décolonisation de l’espace public ». Un succès pour le mouvement qui l’a porté, mais qui comporte un risque d’enlisement.
SNCB : Itinéraire d’un accompagnateur
Médias : pourquoi si peu de diversité ?
H. Peemans-Poulet : avant le féminisme
> Un dossier sur la nouvelle chasse aux chômeurs.euses en préparation au Forem, qui prend la forme d’un projet de décret wallon relatif « à l’accompagnement orienté coaching et solutions des chercheurs d’emploi »
> Un récit de vie d’un accompagnateur de train à la SNCB.
> Un dossier sur la diversité (ou parfois son absence) dans les médias belges.
> La première partie d’un portrait de militantE féministe, dédié à Hedwige Peemans-Poullet.
> Un dossier relatif à la création d’une Commission parlementaire de la Chambre chargée d’examiner le passé colonial belge.
> Un dossier relatif à la résolution adoptée par le parlement bruxellois relative à « la décolonisation structurelle et inclusive de l’espace public bruxellois dans le cadre d’un travail de dialogue et de mémoire ».
> L’analyse d’un récent jugement du tribunal du travail qui rétablit dans son droit au revenu d’intégration une bénéficiaire qui en avait été exclue au motif qu’elle refusait d’enlever son foulard islamique dans le cadre d’une proposition d’emploi.
Le parlement bruxellois vient d’adopter une résolution qui prône la « décolonisation de l’espace public ». Un succès pour le mouvement qui l’a porté, mais qui comporte un risque d’enlisement.
Kalvin Soiresse (Ecolo) est le premier signataire de la résolution adoptée par le parlement bruxellois concernant la décolonisation de l’espace public. Quelles sont ses attentes ?
décolonisation Print Email Pdf Quelles sont les attentes concrètes des associations mobilisées pour la décolonisation de l’espace public ? Nous avons sondé deux d’entre elles : le
Grâce à la crise sanitaire, certains des « invisibles médiatiques » ont retrouvé un visage et une parole. Mais pour parler de quoi ?
Veronica Rocha a créé sa web tv car elle ne trouvait pas les réponses à questions dans les médias traditionnel : question de prisme, de regard.Rencontre.
Les journalistes, comme d’ailleurs les experts auxquels ils ont recours pour commenter l’actualité, sont issus des classes sociales « privilégiées ».
Pour passer dans le poste, mieux vaut être homme, blanc, jeune, aisé et en bonne santé : tels sont les enseignements du Baromètre de la Diversité et de l’Egalité du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
Ce dossier diversité fait la part belle à la façon dont la télévision, et plus particulièrement de la chaîne publique, reflète – ou pas – la diversité de la société belge, et du monde. Et pour cause : l’impact de l’image est plus fort encore que celui des mots. Mais la presse écrite joue évidemment, elle aussi, un rôle essentiel dans la construction et la déconstruction des stéréotypes. Coup de projecteur sur les efforts réalisés, au Soir, à La Libre et au Vif, pour élargir l’horizon.
Les pages des quotidiens sont désespérément monochromes. La prise de conscience qui semble se dessiner dans les rédactions tarde à produire ses effets dans le contenu de nos gazettes. Ce que nous enseigne le baromètre 2018-19 de l’Association des Journalistes Professionnels consacré à l’égalité et la diversité en presse quotidienne.
Comment, par quels mots, nommer cet « autre » de couleur de peau, d’origine ethnique différente ? Le choix est rarement anodin, et le mot qui apparaîtra comme juste aux yeux des uns ne plaira pas nécessairement aux autres. D’où l’importance de l’échange.
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