Après notre « état des lieux » de la pollution électromagnétique, analysant l’exclusion sociale vécue par les personnes électrosensibles, nous avons voulu connaître le positionnement de certains acteurs institutionnels. Deuxième partie.
A l’initiative de son bourgmestre, Benoît Piedbœuf (MR), une commune rurale de Wallonie s’engage à maintenir une zone de son territoire à l’abri des rayonnements électromagnétiques, émis par les antennes de téléphonie mobile. L’endroit est bien connu des personnes électrosensibles de notre pays.
Les syndicats jouent un rôle important dans la défense des droits des travailleurs en entreprise, notamment concernant les risques sanitaires.
L’organisme chargé de veiller à l’égalité des chances reçoit depuis quelques années des signalements de discriminations de personnes électrosensibles.
Après notre « état des lieux » de la pollution électromagnétique, analysant l’exclusion sociale vécue par les personnes électrosensibles
Les derniers jours de l’été 2022 ont connu des mobilisations sociales inédites, organisées contre la « dématérialisation » des services au public.
Le jeudi 15 septembre 2022, quelque trois cents manifestants se sont réunis devant différents locaux de la Confédération des syndicats chrétiens (CSC) pour revendiquer la réouverture de ses centres de services bruxellois.
Incapable d’encore travailler en raison de la pollution électromagnétique sur son lieu de travail, notre témoin a été licenciée en 2010.
Politique de confidentialité – Copyright 2021 © CSCE ASBL – Webdesign : Philippe Lemaire – Réalisation : Banlieues ASBL