
« Complotiste », « complotisme » : mais encore ?
L’histoire regorge de vrais complots, et les interconnexions entre les mondes politique et économique et les milieux d’affaires sont plus étroites que jamais
L’histoire regorge de vrais complots, et les interconnexions entre les mondes politique et économique et les milieux d’affaires sont plus étroites que jamais
Lancé au printemps 2012, Kairos promettait d’enrichir l’offre médiatique avec un regard qui romprait avec « le consumérisme, la croissance, le développement, le progrès, la marchandisation du monde (…) ».
La revendication de Georges-Louis Bouchez, le président du MR, de porter le fer dans les aides à la presse périodique n’a pas passé le cap du conclave budgétaire. Cette « victoire » a néanmoins un goût amer : la saillie de Bouchez a montré que de sombres nuages planent sur le pluralisme de la presse. La vigilance reste donc plus que jamais de rigueur.
Les parlementaires qui suivent de près les dossiers de l’aide à la jeunesse ne sont pas légion
Les juges de la jeunesse reprochent à l’ « administration » de les priver de leurs compétences, tandis que les autorités administratives louent la déjudiciarisation de l’aide à la jeunesse.
Pour pouvoir rencontrer des responsables des services d’aide et de protection de la jeunesse, il faut être muni de l’autorisation en bonne et due forme de l’Administration générale de l’aide à la jeunesse (AGAJ).
Le mauvais état des relations entre les différents intervenants de l’aide à la jeunesse, et entre ces intervenants et les familles, s’explique avant tout par l’ignorance…
Pour Valérie Glatigny, ministre MR de l’Aide à la jeunesse, les rapports tendus entre les juges de la jeunesse et l’administration de l’aide et de la protection de la jeunesse illustrent la mauvaise compréhension des tâches et des responsabilités de chacun.
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