
Fuite des fournisseurs mais fourniture garantie
Une nouvelle ordonnance relative à l’organisation du marché de l’électricité et du gaz en Région de Bruxelles-Capitale a été adoptée au parlement bruxellois ce 11 mars. Analyse de son contenu.
Energie : faire face à la crise
Aide à la jeunesse : visions divergentes
Electrosensibilité : Souffrances au travail
> Le système des titres-services organise le subventionnement à environ 70 % du travail d’aide-ménagère presté au bénéfice des utilisateurs, tandis que les conditions de travail de celles qui l’effectuent sont déplorables (salaire moyen de 850 euros brus/mois pour 18h hebdomadaires en TS en Wallonie, renvois massifs vers l’invalidité, etc). Un dossier fait le point sur la situation et formule une proposition de réforme.
> I. Philippon (CSCE) poursuit son investigation sur l’organisation de la justice des familles et de l’aide à la jeunesse, en donnant notamment la parole à la Ministre en charge de l’Aide à la jeunesse et en présentant le positionnement des différents partis politiques.
> Dans ce volet de son enquête sur l’exclusion sociale vécue par les électrosensibles suite à la non-reconnaissance de leurs pathologies, G. Hanotiaux (CSCE) examine les exclusions liées au travail, en donnant une large place aux témoignages recueillis.
> Enfin, une série d’articles revient sur la flambée des prix du gaz et de l’électricité ainsi que sur l’évolution du marché et de son encadrement public en région bruxelloise.
Une nouvelle ordonnance relative à l’organisation du marché de l’électricité et du gaz en Région de Bruxelles-Capitale a été adoptée au parlement bruxellois ce 11 mars. Analyse de son contenu.
En juillet 2021, deux fournisseurs, Octa+ et Mega, ont décidé de ne plus faire offre dans la Région de Bruxelles-Capitale.
En réponse à l’envol des prix du gaz et de l’électricité, le gouvernement fédéral a pris plusieurs mesures afin de diminuer les factures des ménages.
Retour sur l’un des faits d’armes les plus mémorables d’un pionnier du milieu socio-culturel belge, Rudi Barnet
L’aide à la jeunesse souffre de multiples dysfonctionnements.
Pour le Parquet comme pour les autres acteurs de l’aide à la jeunesse, travailler dans un secteur sous-financé, en perpétuelle pénurie de moyens financiers et de places disponibles dans les services d’aide hypothèquent un travail de qualité. Même si chacun fait ce qu’il peut…
Pourquoi les « pouvoirs » du juge de la jeunesse et ceux de l’administration sont-ils tellement différents en Wallonie et à Bruxelles ?
Le législateur a privilégié l’approche non judiciaire de l’aide à la jeunesse : ce n’est donc qu’en dernier recours que des jeunes en grande difficulté et leur famille doivent comparaître devant un juge.
Pour Valérie Glatigny, ministre MR de l’Aide à la jeunesse, les rapports tendus entre les juges de la jeunesse et l’administration de l’aide et de la protection de la jeunesse illustrent la mauvaise compréhension des tâches et des responsabilités de chacun.
Le mauvais état des relations entre les différents intervenants de l’aide à la jeunesse, et entre ces intervenants et les familles, s’explique avant tout par l’ignorance…
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