Les deux « gendarmes » des télés et des radios
Les médias « classiques » de presse audiovisuelle sont soumis à l’autorité de deux instances.
Les médias « classiques » de presse audiovisuelle sont soumis à l’autorité de deux instances.
Les plaintes introduites devant le Conseil de déontologie par les citoyens et citoyennes « consommateurs » de médias ne cessent d’augmenter. Et c’est plutôt bon signe…
Toutes celles et ceux qui se sentent interpellés par la manière dont un média traite l’information peuvent porter plainte devant le Conseil de déontologie.
L’organe d’autorégulation des journalistes et des médias dépasse la seule fonction du « gendarme de la profession », même si c’est ce rôle-là qu’on lui connaît le mieux. Il contribue à sensibiliser les journalistes aux nouveaux défis sociétaux, et aussi à nourrir le débat public autour des responsabilités de tous ceux qui produisent de l’info.
Le choix des illustrations qui accompagnent un article est tout sauf anodin. Le Conseil de déontologie journalistique l’a rappelé à L’Avenir : porte-jarretelles débordant de billets de banque et prostitution de mineures font mauvais ménage.
La création du Conseil de déontologie journalistique (CDJ) a permis aux médias de répondre à un double défi : rendre les médias plus vertueux et respectueux de la qualité de la démarche journalistique d’un côté ; se prémunir contre des ingérences de l’Etat, de l’autre.
Les médias « traditionnels » sont confrontés à la désaffection du public qui s’informe de plus en plus sur le Web et est bombardé d’infos à la qualité souvent douteuse.
Samen, c’est Ensemble en néerlandais. Une rubrique pour parler du social dans la langue de Vondel. Nous présentons ici le baromètre 2023 de la pauvreté qui reste à un niveau constant en nombre de personnes mais avec une aggravation de leur situation.
Politique de confidentialité – Copyright 2021 © CSCE ASBL – Webdesign : Philippe Lemaire – Réalisation : Banlieues ASBL